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Arrogance.

5 novembre 2008

Qu'est-ce ?

jetaime

Je ne sais plus. Je ne sais plus rien. J'ai le sentiment de perdre peu à peu des choses qui comptaient énormément pour moi. A commencer par mes meilleurs amis. Entre une qui mériterait bien que je lui mette mon poing dans son visage, une autre que je ne vois quasiment plus, et mon meilleur qui semblerait avoir trouvé des choses plus intéréssantes ailleurs... Que dire, que faire ? Rien. Plus le temps passe, plus les temps changent, &je me sens délaissée, seule sur ces terres hostiles que j'essaye d'affronter seule. J'ai perdu le sourire, j'ai perdu ma bonne humeur, &je perds encore chaque jour...

Avant que tout cela ne change, je me sentais soutenue, entourée. Aujourd'hui, que reste-t-il de tous ces dévouements ? Sur quelle épaule puis-je pleurer sans ennuyer son propriétaire ? Dites moi qui a la force de me dire que tout ira mieux ? Tout ce que je vis manque de conviction, d'enthousiasme, de tout ce dont j'ai besoin... Je passe mes journées à ne rien faire. Quand je suis dans ma journée, recroquevillée sur moi-même sous ma couette, j'ai un espoir d'entendre mon portable vibrer, et qu'on me demande comment je vais, ou que l'on m'aime... Mais rien... Alors je me mets à pleurer, et je regarde les photographies accrochées sur mon mur... Ont-elles encore un sens ? Ces souvenirs, ces sourires, ce bonheur d'un instant. Puis je continue de pleurer.

J'ai comme momentanément perdu la force de me défoncer à prouver mes sentiments pour les autres.

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28 septembre 2008

Repartir de zéro pour mieux renaître.

opentoothersJ'ai essayé de me renier, de cacher mes sentiments et faire comme si j'étais une fille épanouie à toutes heures de la journée. Mais c'est plus fort que moi, je suis comme ça : j'aime dévoiler mes sentiments &mes impressions. Quitte à passer pour une fille mélancolique à tout bout de champs. J'ai changé, mais il y a des choses qui sont restées les mêmes. MAIS je vais m'affirmer. J'aime certaines choses, et je m'en tape si on me prendra pour une pétasse.

1 août 2008

Je ne te perdrai pas; pas TOI.

jeneteperdraispasUne semaine que j'ai été séparée de Toi. Le temps semble long lorsque mon regard ne peut plus se poser sur Toi. Aujourd'hui, j'ai repensé à l'amour; toutes ces fois où j'y ais cru aveuglément et où j'ai inévitablement été déçue. Mais pourtant, derrière cet espoir, je savais que cela allait se terminer. Tant d'amours finissent pas être brisés. Et c'est fou comme avec Toi je me dis : Non, je ne le perdrai pas. Jamais.

Reviens-moi vite, mon Amour. Viens à moi. Je me sens si vide, sans Toi. Je me sens si seule... Sans Toi...

17 juillet 2008

What if GOD was one of us.

byebye2Les vacances ; c'est pitoyable combien on s'ennuie. Enfin, je ne vais pas faire de généralité... Je reprend : c'est pitoyable combien JE m'ennuie. Ce sont les 3 mois de l'année que l'on attend avec impatience, et une fois qu'on y est, on aurait presque envie de retourner au Lycée, au moins là-bas on s'ennuie un peu moins. Les journées passent lentement, et soudain, on aspire plus à rien. Et il me reste encore un mois et demi à tenir, ça va être du joli. D'autant plus que les seules occupations que j'avais ne me donnent plus rien de satisfaisant : écrire, prendre des photos... Genre une photo sur un million me satisfait aha; j'suis minable.

28 juin 2008

La nuit est un appel aux cris du Coeur.

toiComme tout me parraît vide ici, sans Toi. Seulement quelques jours que j'ai dû te quitter sur ce quais de gare, et mon Coeur semble déjà au bord de la crise. Le plus dur pour moi fût le premier jour que j'ai dû passer sans Toi. J'étais seule, dans cet environnement silencieux, où je pouvais seulement perçevoir les rires de ma famille, eux qui n'entendaient pas mes cris. C'est fou comme on se sent seule au Monde quand on sait que personne ne peut nous aider. J'étais là, allongée sur mon lit, serrant mon keffieh qui avait gardé ton odeur, et pleurant, pleurant tout ce que j'avais besoin d'évacuer. Et j'ai pleuré, pendant plus d'une heure sans m'arrêter. La peine ne laisse pas de répit. Aujourd'hui, je me suis habituée à ce manque, à ce vide, mais lorsque la nuit survient... Depuis que je ne suis plus avec Toi, mon corps recherche constament ta présence lorsque je m'endors. Chaque nuit je me surprend à vouloir serrer quelqu'un qui n'est pas là, et je pleure cette absence.

Cette nuit, j'ai pû te toucher. Ce n'était qu'un rêve, mais j'ai pû te toucher. Comme il semblait tellement vrai... Je laissais ma main glisser sur ton ventre, et mon nez qui frolait tes joues. Tu sais quel sourire se marque sur mes lèvres lorsque je fais ça. Tu le sais très bien. Tu me manques tant...

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26 juin 2008

Ma plus grande fierté reste son être.

togetherVendredi soir, le Bac étant terminé, je suis montée dans le train de 21h en direction de Pau en compagnie de ma grande soeur. J'ai découvert ce que c'était que de languir d'impatience dans un train qui parfois s'attarde sur un arrêt pendant 10minutes ><. Bref, passons cet épisode où j'ai été torturée de stress pendant plus de 9heures, etc etc... l'horreur, vous l'aurez compris.
6h, je comptais les minutes avant que le train ne s'arrête sur le quais. C'est comme un mélange de "Je veux descendre je veux descendre!" et de "Je veux pas descendre je veux pas descendre!". Le train s'est arrêté, et je suis descendue en trainant derrière moi mon énorme valise. Je me suis arrêtée, et j'ai immédiatement aggripé mon portable pour l'appeler, mais aucune réponse. Un appel, deux appels, trois, quatre... mais toujours rien. Ma soeur me dit alors "Viens, on va dans le Hall." Je la suit, et soudain elle s'arrête, et me demande "C'est pas Lui, là-bas?" Je tourne la tête, et je le vois, debout, tout seul, me cherchant du regard. Il ne m'avait pas vue. J'ai posé ma valise, et j'ai couru vers Lui, en criant "Jérémyyyy!" Il s'est retourné, et à peine m'avait-il aperçue que je lui sautais au cou. Je l'ai serré, serré, tellement fort. Il faisait de même. J'avais l'impression d'être dans un rêve où je pouvais ENFIN le serrer contre moi, un rêve bien réaliste.
Sa mère nous ammène donc tous les 3 dans leur appartement. Ma soeur était partie prendre une douche, je me retrouvais alors avec Jey, et rien que Lui. Il me prend dans ses bras. Nos lèvres s'évadent dans le creux de nos cou, puis les siennes dérivent jusqu'à ma bouche... Le temps du premier baiser, celui qui m'a particulièrement marquée. Il me regarde, et me dit qu'il m'aime, qu'il était sûr maintenant que j'étais faite pour Lui.
Puis nous partons à la Gare chercher le copain de ma Soeur qui nous rejoint pour la journée. On se retrouve une nouvelle fois rien que tous les deux; tant mieux. On en profite.
Le temps passe, on mange au Quick, on fait les magasins, on se ballade dans Pau, on retourne au Quick se boire un grand IceTea, et enfin le moment tant attendu de la journée, celui où on se retrouverait vraiment que tous les deux. Envie de rester dans les bras l'un de l'autre, envie de rester accrochée à ses lèvres, à son odeur et à ses mains qui souvent pressent les miennes.
Le week end passe, et on reste tous les deux, rien que tous les deux dans sa chambre. On parle, on rit, on s'embrasse, on se câline, on se dit qu'on s'aime.
Dimanche soir, sa mère bosse de nuit, elle ne sera pas là pour surveiller si on dort dans des pièces séparées; on en profite. Je m'endors contre Lui, sa respiration rythmant la mienne. Tout est ordonné, à 7h je me lève et je vais dans mon lit avant que sa mère ne rentre; ni vu ni connu.
Lundi arrive, et il doit s'en aller passer son Oral. Il devait être à 13h30, et finalement, il ne rentrera pas avant 17h... Alors je l'attends dans sa chambre, en étant sur le PC, sagement. Puis la porte d'entrée s'ouvre, et le voici qui arrive. A peine eut-il le temps de poser son casque de scooter sur son lit que je lui saute dans les bras. "C'est con, mais tu m'as manqué..." Voici ce qu'il m'a dit dans le creux de l'oreille. On continue de profiter du temps qu'il nous reste et qui passe peu à peu...
Mardi, on passe notre journée dans la chambre à regarder des films. Je le sens contre moi, qui me serre un peu plus contre Lui... On va au cinéma, on s'achète un grand Coca qu'on boit en Amoureux, avec deux pailles. Il me prend la main, il me chuchote qu'il m'aime. Le film est nul, mais pourtant, tout est fantastique.
On rentre, on mange, on parle à table, dîner tranquille. Le dernier. On sort de table, on file dans Pau en scooter. Il me fait visiter son Lycée. On a dû escalader un mur pour pouvoir sortir (merci le monsieur qui a fermé le portail avant qu'on parte), on rit parce que je me suis étalée sur le mur en essayant de sauter. Puis il me montre son Collège, on passe vite fait en scooter. Il me raconte quelques anecdotes. Ca me fait sourire. On rentre chez Lui. On sort le chien dans le parc d'en face, on prend quelques photos. On rigole une fois de plus, quelle gonzesse ce mec "Ha je m'aime pas sur celle là" "T'as vu ma tête?!" "Haa mes cheveux!".
Puis on rentre, et on commence à se regarder un autre film. Arrivés à même pas au quart du film, on commence à s'embrasser, puis ça va plus loin que d'habitude... Il me dit qu'il a envie de moi, qu'il m'aime comme il n'a jamais aimé. Je lui dis que je ne peux pas, que ma mère me fait confiance, et que je lui avais promis de ne rien faire avec Lui. Puis on parle de moi, je lui raconte comment était mon ex avec moi. Il me répond qu'il ne fera jamais ça avec moi, qu'il me traiterai en princesse, qu'il ne me forcerait jamais à faire quoi que ce soit... Le sujet dérive vite, on fini par délirer en parlant d'Indiana Jones. Il est 2h du matin, et il est obligé de plaquer sa main contre ma bouche pour étouffer mes éclats de rire. A ce moment précis, j'ai pensé que c'était vraiment un garçon parfait. Jamais je n'avais été autant moi-même avec un garçon.
Le lendemain matin, celui de mon départ. Je me lève avec un coup de blues de m'en aller. Lui aussi. Je suis assise dans le salon, et il entre, me prend dans ses bras. Je remarque que sa respiration est étrange, comme si il se retenait de respirer... Je le regarde. Des larmes coulent à flots sur ses joues... A ce moment précis, il a explosé en sanglots... On est resté comme deux cons dans ce salon, serré l'un contre l'autre, à se dire qu'on s'aime et qu'on se reverra.
Plus tard, on monte dans la voiture, et on s'en va à la Gare. Je composte mon billet, et arrive sur mon quais. Il est galant, il monte ma valise dans mon train, elle est tellement grosse que je peine à la mettre en hauteur. On redescend sur le quais, et on se tiens l'un dans les bras de l'autre. On se dit qu'on s'aime, mais cette fois ci avec quelque chose en plus... le regret de quitter l'autre. Le train doit bientôt partir, il me dit de me dépêcher, et je l'embrasse pour une dernière fois. Je vais m'asseoir, et je le vois, de l'autre côté du train. Le monsieur qui est assis devant la fenetre lit un journal immense et m'empeche de voir mon Jey une dernière fois. Je l'appelle avec le téléphone, et je lui dis que je l'aime. Je réussi à le voir, je lui demande de me faire un dernier sourire, ce qu'il fait, mais spontanément. Le train démarre, et je le vois qui s'éloigne de moi, le coeur sérré et les larmes aux yeux...
"On se reverra en Aout, mon Amour."

4 juin 2008

« All these lives that you've been taking »

whenthsunsleepsAujourd'hui, j'ai eu besoin de plus de solitude que d'habitude. La sonnerie du Lycée a retentit, et je suis sortie avec mes deux amies, comme tous les Mercredi. Quelques minutes plus tard, je leur annonçait que "Les filles, je suis fatiguée, j'aurai pas le courage de faire 4km aujourd'hui, je vais au Parc." Elles m'ont regardées comme si je venais de leur annoncer que j'avais vu un éléphant rose. Je leur ait fait la bise, et je suis partie -seule- au Parc. Il était vide, désert, et la balançoire était disponible. Alors j'ai marché jusqu'à elle, j'ai posé mon sac et ma veste dedans, puis j'ai commencé à me balancer avec mon portable qui laissait de la musique s'échapper dans ce grand espace inhabité. J'étais réellement toute seule, et j'aimais ça. Mon regard restait fixé sur ces cailloux, sur ces arbres, sur cette pelouse... Un Homme a traversé le Parc. Je le voyais au loin. Alors je me disais " Oh, il a la même couleur de cheveux que Jey. ", puis j'ai vite céssé de les comparer puisque je me disais qu'il ne lui ressemblait pas, que même la silouhette ne correspondait pas. J'aurai aimé qu'il sorte d'entre les arbres, sa valise trainant au sol, et voir son regard souriant tout autant que ses lèvres. Les rêves sont vraiment débiles parfois. Et moi, j'étais là, les cheveux qui se plaçaient devant mon visage lorsque je me balançais, et cette fatigue qui s'emparait encore plus de mon corps.
Je suis descendue de la balançoire, j'ai posé mon sac sur le dos, j'ai agrippé ma veste, et je suis partie prendre mon bus. Quand je suis arrivée chez moi, j'ai mangé, puis quelques temps plus tard je suis allée me coucher. Je pensais à Lui.

21 mai 2008

Everybody gonna love today, love today, love today.

sanstoijenesuispasmoiIl faisait chaud aujourd'hui. Comme d'habitude, je suis sortie du Lycée à 11h30, et j'ai raccompagné Marie chez Elle, à 2km de là. Le retour, je l'ai fais avec Lucie. Puis on s'est séparées chacune de notre côté. Je me suis retrouvée seule sous ce soleil de plomb. Alors que certains ne pensaient sans doute qu'à se rafraichir avec une menthe à l'eau, moi je pensais que j'avais envie d'être avec Toi. Je songeais que cet été je serai avec Toi, et que nous devrons sans doute affronter une chaleur pire que celle-ci. Peu importe, tant que je serai à tes côtés. Puis j'ai pris mon Bus, le TR6, et je suis rentrée chez Moi. Je pensais à Toi, les pieds trainant sur les graviers. J'ai passé le seuil de ma porte, et ma mère m'a tendue une lettre. Mon billet de train est enfin arrivé... J'ai ouvert, et je l'ai observé. J'ai vérifé les horaires, les gares, la destination.. Oui, Nantes-Pau, c'est bon. Cette fois-ci, personne ne pourra nous barrer le chemin...

16 mai 2008

There can be miracles when you believe.

miracles

6mois que nous nous attendons. Mon Amour. Je suis tellement heureuse que mon Oral de Français soit le 12Juin, car pour moi, cela signifie que je pourrais rester plus longtemps que prévu chez Toi... dans tes bras. Le Bac sera terminé, et je pourrais me réconforter dans tes bras, parce que évidemment, et comme toujours, j'aurai foiré mes examens. Tu me connais, ça va me mettre le moral à zéro. Et puis, il y aura ton Oral à passer. Je tiendrais ta main, je te dirai de ne pas stresser, que tout se passera bien, que je suis là. Je t'attendrai dans un couloir, ou dehors, peu importe, je t'attendrai. Tu sortiras de ta salle d'examen, tu marcheras vers moi, et je t'adresserai un sourire. Je te prendrais dans mes bras. Je te dirai que je t'aime.

Les jours sont comptés maintenant. Je ne connais pas exactement le nombre de jours qu'il nous reste, mais je m'en moque, car je sais que si je le sais, l'attente me parraîtra plus longue. C'est idiot, je sais. Tellement idiot comme je pense si souvent à Toi, comme je rêve d'être à tes côtés. Mon Dieu, j'ai tellement de mal à réaliser que cette fois, c'est la bonne. On va se voir. Enfin. Bon, on va dire que la seule chose qui me chiffone un peu, c'est que tu me verras le matin quand je serai juste réveillée. Dieu sait combien je n'aime pas qu'on me voit décoiffée comme pas possible, pas maquillée... Et ne me dis pas que les filles sont belles au naturel, parce que me concernant en tout cas, ça fait peur. Oui mon Coeur, tout ne pourra pas être parfait, il y aura bien un moment où tu devras être confronté à la dure réalité. LOL :)

J'arrive mon Coeur. Le temps passe. Et il me mènera à Toi.

Je t'aime Ange. Je t'aime. T'aime t'aime.

12 mai 2008

L'Amour est tellement surprenant chaque jour.

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<< Immortelle, Je meurs de Toi. >>

L'Amour est un sentiment étrange qui chaque jour peut vous surprendre. Si seulement vous pouviez voir les larmes qui dessinent la courbe de mes yeux, celles qui veulent s'échapper, mais que mon âme interdit de couler. Pleurer d'amour, ce mélange de bonheur et de sentiments que jamais je ne pensais connaître. Et je m'en moque éperduement si je peux avoir l'air quétaine, naïve, et tout le reste; je m'en moque, tant qu'il m'aime encore.

Comme il sait si bien trouver ses mots, ses façons de me dire qu'il m'aime... Mon Coeur chavire, s'échoue, explose, s'enflamme... Un frisson qui parcoure le moindre centimètre carré de ma peau... L'Amour est un sentiment qui s'est aggripé à mes trippes, et qui s'amuse à les tordre dans tous les sens, et me fais ressentir tellement de choses. Des sensations inconnues qui font tellement de bien. Un bien fou, mieux qu'un voyage à l'autre bout du Monde, mieux que le Premier Baiser, mieux qu'un ciel étoilé, mieux que tout ce qu'il existe sur cette putain de planète.

Tellement envie d'être face à Lui. Le regarder, approcher mon visage du sien, puis au dernier moment m'en aller trouver le creux de son cou et laissant un Jet'aime s'évanouir dans les airs. Un murmure si chaud mais qui glace le corps. Quelque chose qui vous traverse le corps, qui passe par tous les chemins, et y dépose quelque chose que beaucoup de gens recherchent... << Bonheur >>. Et je suis jalouse, et je suis en colère. Toutes ces personnes qui le croisent dans la rue chaque jour, toutes ces personnes qui ne se trouvent pas loin de Lui et de son corps que je cherche la Nuit lorsque le sommeil s'empare de moi. Qu'on me laisse partir à la minute qui suit, qu'on me laisse m'en aller si loin le retrouver, qu'on m'autorise à m'échapper dans son Monde. A cet instant même, je n'ai pas peur de le décevoir. A cet instant précis, je n'ai qu'une envie, passer une nuit avec Lui, rien qu'une nuit, collée contre Lui, et lui murmurer des Jet'aime jusqu'à ce que le jour vienne m'arracher à Lui.

Laissez-moi l'aimer. Laissez-moi.

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